Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans
Auteur Arkhamon
Le début de l'histoire est ICI
Chapitre 5 "Tu défailles déjà? A la première? Allons allons petit jouet. Tu ne voudrais pas me priver de mon plaisir quand même?
- Non Madame.
- Bien alors détends-toi, contrôle toi et respire lentement. Quand j'approche l'aiguille, inspire profondément, et souffle doucement pendant que je la plante. Et tout se passera bien. Et puis, il ne t'en reste plus que 13!" me dit-elle avec une voix moqueuse empreinte du même sadisme pervers.
Chaque autre aiguille plante est un véritable calvaire, et quand il n'en reste plus que deux à planter, je suis au bord de l'évanouissement. Madame s'en rend compte, et en experte dans ce domaine voit qu'il faut marquer une pause. Ce moment de répit aurait pu être un délice, si mon poitrail n'était parcouru de méchante pointes de douleur émanant de mes seins. Cette douleur m'était inconnue jusqu'alors, et je commence à craindre pour les poids. Mais je continue à leur faire confiance pour la suite, jusqu'à présent ils sont restés parfaitement respectueux des limites arrêtées.
"Planter ces aiguilles a été un réel plaisir. Ca m'a excitée! Jeannette, viens ici!".
Jeannette arrive immédiatement. Madame se couche sur le canapé, en ouvrant largement ses jambes fuselées, dévoilant une fois de plus son adorable sexe annelé. Elle fait signe à Jeannette qui immédiatement vient se mettre à genoux, les fesses bien cambrées, dévoilant son sexe lui aussi annelé et lisse. Elle commence immédiatement à lécher le sexe de Madame, qui commence déjà à se tortiller. Ce faisant elle ondule le bassin, comme une invite à se faire prendre. Ce détail n'échappe pas à Monsieur qui va vers un meuble et en sort un double godemiché des plus imposants. Il le lubrifie délicatement dans la coupelle d'huile, qui était restée près de la, et le présente devant les deux orifices de la servante. A ce contact, elle se cabre et s'empale elle même d'un coup sec, d'une traite. Le souffle coupé par cette intrusion, elle fige tous ses mouvement. Madame empoigne sa tête et la plaque contre son sexe en hurlant: "Lèche petite salope. Fais-moi jouir ou je te massacre! Et toi petit joujou, regarde bien comment on comble une femme! Car tout à l'heure tu n'auras plus droit à l'erreur!"
Le ton hystérique me surprend et contraste totalement avec la grâce et le raffinement dont elle avait fait preuve jusqu'à présent. Que cette femme peut avoir comme faces cachées! Comme il doit être agréable, et douloureux, de lui être livré totalement, sans retenues ni tabous aucun.
Un frisson de désir et de peur parcourt mon échine, tandis que je vois la soubrette reprendre ses caresses buccales, tout en commençant à gémir sous les mouvements de va-et-vient que Monsieur a commence à appliquer au double gode. Bientôt, ses gémissements se transforment en cris retenus puis en cris francs au fur et à mesure que l'huile pimentée atteint les récepteurs de ses muqueuses vaginales. La taille de l'instrument ne fait certainement qu'augmenter la douleur, et je peux aisément comprendre la douleur qui doit la tarauder, tout en admirant la résistance qu'elle peut avoir. Sous sa langue experte, Madame commence à décoller lentement mais sûrement vers le 7 ème ciel, tandis que mon sexe finit de se dresser et me fait mal tant il a envie de jouir. Soudain les feulement de Madame se transforment en halètements, puis en cris, pour finir en hurlements hystériques, tandis que son corps se transforme en une machine à jouir. Les convulsions sont d'une puissance extrême, et la soubrette est obligée de tenir le bassin à deux mains de toutes ses f o r c e s pour continuer de la lécher, tout en subissant les assauts vigoureux de Monsieur. Dans le même temps, Madame éjacule par petits jet successifs dans le visage de la soubrette, qui fait de son mieux pour capturer chaque jet, preuve de l'orgasme. Elle aussi, malgré la brûlure du piment est en train d'atteindre l'orgasme.
Et enfin, venant comme une libération, l'orgasme dans sa plus splendide expression! le corps entier de Madame semble révulsé, comme électrocuté! C'est le spectacle le plus magnifique et le plus terrifiant que j'ai jamais vu! Les jets atteignent une f o r c e qui fait que certaines gouttes viennent jusqu'à moi! Quel spectacle impressionnant. Puis son corps se calme, tandis que les caresses de la soubrette se transforment en douces attentions, et que Madame ronronne doucement sous ces douceurs. "Comme tu peux le constater, petit joujou incapable, j'ai réellement été d'une générosité indécente en t'accordant un 16/20 pour ta misérable prestation de tout à l'heure! J'ose espérer que la suivante sera à la hauteur, sinon tu pourras constater que ton seuil de douleur est aussi bas que ta capacité à faire jouir correctement une femme!" me dit-elle les yeux encore embrumés par la jouissance qui l'a terrassée tout l'heure. Ces paroles me sont assénées comme un coup de massue, et mes jambes se mettent à trembler. Elle doit certainement lire dans mes yeux une certaine lueur de désespoir. Moi qui croyais lui avoir donné un orgasme, je l'avais tout au plus émoustillée! Le grand sourire dont elle me gratifie me fait comprendre que j'ai raison, puis son sourire se fige en une expression délicieusement effrayante. "Tu as vu ce qu'il te restait à faire, petit esclave. Mais ça sera pour tout à l'heure." Elle se lève gracieusement, semblant avoir récupéré des convulsions qui quelques instants plus tôt l'ont clouée au canapé sous la langue experte de la soubrette. Monsieur retire le double gode de la soubrette avec un bruit de ventouse très évocateur. De longs filets de cyprine coulent sur ses jambes. "Nettoie lui les jambes petit jouet. Et après tu lui nettoieras le visage. Et tâche que ta langue soit agile..." Je m'exécute et goûte à la peau de cette fille, superbe elle aussi, en admirant son courage et sa science de la jouissance. Ses cuisses répondent à ma caresse par de légers tremblements, et je vois sa vulve commencer à bouger lentement. "Ne la fais pas jouir, elle non plus n'en a pas le droit!". Je sens les tremblements s'arrêter immédiatement, mais je continue néanmoins mon oeuvre. Ayant terminé ses cuisses, je me relève et approche ma langue de son visage qu'elle me tend. J'entreprends alors de le lécher délicatement. "Il suffit. Bien maintenant, passons aux choses sérieuses petit jouet... Il te manque encore quelques choses pour orner tes tétons..." dit-elle en se présentant devant moi avec deux aiguilles. Elle pose la pointe sur le téton, perpendiculairement à mon corps, et appuie doucement, puis fortement. La douleur est exceptionnelle, et quand la peau cède enfin, l'aiguille s'est plantée d'un bon centimètre dans la chair. Monsieur arrive avec une pince coupante et sectionne l'aiguille juste sous le manchon, évitant ainsi un éventuel saignement. L'autre téton est traité de la même façon, provoquant les mêmes vagues de douleur. Puis elle saisit une cordelette, et la fait passer sous les aiguilles disposées sur les auréoles, et fait une boucle courte. Elle répète l'opération sur l'autre. Puis Monsieur lui tend les poids un à un. Ils sont munis de petits crochets qui permettent de les accrocher.
Elle les accroche un à un, alternativement de chaque côté. Je sens la tension augmenter à chaque poids. Bien qu'ayant déjà teste ça moi-même, et ayant dépasse le kilo par téton, je me demande comment je tiendrai longtemps comme ça. Mais ça n'a pas l'air d'être son souci. Les 5 poids sont accrochés à chaque téton, largement déformé vers le bas. La tension est visible. Madame s'agenouille alors entre mes cuisses, et accroche 4 pinces japonaises à mes bourses, et y accroche deux poids à chacune, avec des ficelles de 20 cm environ. Elle se redresse alors et saisit le briquet-chalumeau que lui tend son mari. Ils n'avais donc pas oublié. Je me prépare et serre les dents.
Le clac se fait entendre et le bruit du gaz sous pression se fait entendre. La flamme est grande et puissante. Elle l'approche de la première aiguille et commence à chauffer le bout qui rougit presque instantanément. La douleur est très supportable. Mais elle approche lentement la flamme de mon téton, et je vois la zone qui rougit s'approcher de mon téton. Je la regarde d'un air paniqué, et son regard froid et implacable se plante dans le mien. Mes jambes tremblent. Ma respiration est minimale. Son regard intense attend le moment ou je vais hurler pour lui demander d'arrêter, en espérant que ce moment arrivera le plus tard possible. La douleur qui irradie de mon sein est devenue insupportable, et je hurle ma détresse. La flamme s'interrompt immédiatement, faisant diminuer la douleur à un niveau supportable bien qu'important. Je vois dans son regard une pointe de satisfaction, et un compliment à mon attention. Elle détourne son regard du mien, et une fois de plus le clac précède le bruit de la flamme, et la chaleur intense qui irradie de mon autre sein. Le processus est le même, mais cette fois je fais un effort surhumain pour lui offrir le meilleur de moi-même. Mais f o r c e m'est de reconnaître que je dois capituler, tout en constatant que je suis allé plus loin que la première fois. Mon hurlement stoppe net la flamme, et cette fois le compliment est verbal:
"Très bien petit jouet. Je suis fière de toi et du plaisir que tu m'offres en souffrant. D'ailleurs, en parlant de plaisir, je te rappelle que tu me dois un orgasme. Un vrai cette fois, pas une gaminerie de derrière les buissons. Viens petit joujou, fais-moi jouir!". Ce faisant, elle s'installe sur le dos sur la table basse, en ouvrant les jambes du mieux qu'elle peut.
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